Le coaching prend ses racines étymologiques du français « coche » et du verbe anglais « to coach » qui signifie entraîner, motiver. Ce terme évoque donc l’accompagnement.
D’un point de vue historique, c’est Socrate qui est considéré comme le père du coaching puisqu’il enseignait de son temps la « maïeutique », qu’on peut définir par le questionnement comme aide pour trouver le chemin de l’intelligence, la connaissance de soi.
Mais le terme coaching prend son sens dans les années 50 aux Etats-Unis d’abord dans l’univers sportif, le coach accompagnait le sportif dans un entrainement physique mais également mental. Il gagne l’Europe et les pays anglo-saxons dans les années 80 en s’instaurant dans le domaine professionnel.
En France, il apparaît 10 ans plus tard, d’abord peu reconnu car affilié au domaine sportif, il connaît ensuite une progression fulgurante dans le monde de l’entreprise.
Souvent assimilé à un aveu de faiblesse, le coaching n’est pas exclusivement réservé aux personnes rencontrant une ou des difficultés. Du moins, il est préférable d’y faire appel avant de l’être.
Aujourd’hui, le coaching professionnel prend sens dans une démarche d’accompagnement et de changement. Aussi bien en individuel qu’en équipe, il permet de lever certains freins rencontrés. Cet accompagnement est défini entre le coach et le coaché par des objectifs clairs, mesurable, réaliste et atteignable (Les fameux objectifs S.M.A.R.T ). Mais attention, le but n’est pas d’instaurer une dépendance entre le coaché et le coach. Non, l’objectif est qu’à la fin d’un parcours de coaching, le coaché soit en parfaite autonomie.
En conclusion, le coaching c’est un suivi individuel ou collectif, personnalisé, qui a pour objectifs d’amener au changement à travers une prise de recul sur les situations rencontrées.
Bon, maintenant qu’on en sait un peu plus sur l’origine du coaching et ses grands principes, on vous prépare un article sur ses rôles.
L’équipe My Best Company